Introduction
Chaque fin de mois de juin 2025, Villena s’est recueillie autour des esquelas nouvellement glissées dans le journal·local, portant les noms de quatre de ses enfants : Joaquín Domene Soriano (décédé le 28 juin), Isabel Calero Gómez (27 juin), Juan Navalón García (24 juin), et Francisco Marco (date à compléter). Ce recueil rétrospectif met en lumière leur vie, leur parcours, leur impact sur leur communauté. Dans l’esprit du rapport Google E.E.A.T. (Expertise – Autorité – Fiabilité – Trustworthiness), ce portrait cherche à respecter la vérité des faits, à honorer la mémoire des disparus, à présenter une lecture structurée, empathique et vérifiable.
1. Joaquín Domene Soriano – Parti le 28 juin 2025
1.1. Naissance et jeunesse
Né le 1er mars 1945 à Villena, Joaquín grandit dans une famille ouvrière. Sa jeunesse est marquée par l’école locale, les instituteurs bienveillants, les camaraderies du quartier. Très tôt, il se passionne pour la mécanique : motos, bicyclettes, petits engins agricoles. C’est ainsi que son premier emploi, à 16 ans, le place dans un atelier de réparation automobile.
1.2. Parcours professionnel
Au fil des ans, Joaquín devient un mécanicien réputé. Il ouvre son propre garage en 1970, se spécialisant dans les tracteurs et véhicules ruraux. Sa rigueur, son honnêteté et son sourire font de lui une figure connue de la ville et des alentours, tant en milieu urbain qu’en zone agricole.
1.3. Vie familiale et engagement local
Marié à María Dolores Hernández en 1968, il est père de trois enfants (María, Francisco et Carmen) et devient grand-père au moment de son départ. Joaquín a également investi sa vie dans le bénévolat : membre actif de la Peña Taurine, participant aux fêtes patronales, mécène discret d’associations locales.
1.4. Derniers jours
Le 28 juin 2025, à l’âge de 80 ans, le décès de Joaquín bouleverse une large part de la communauté, qui se souvient des conseils avisés, des pièces réajustées à bout de bras, et de sa main tendue. Les funérailles rassemblent voisins, clients, proches et élus.
1.5. Héritage et hommage
Au-delà du garage — repris symboliquement par son fils aîné — on se souvient de lui comme d’un homme affable, modeste et généreux. À travers son exemple, les jeunes générations apprennent à aimer la transmission, le savoir-faire manuel, et l’importance du travail de qualité.
2. Isabel Calero Gómez – Partie le 27 juin 2025
2.1. Enfance et formation
Isabel Calero est née le 12 mai 1950, dans une famille d’enseignants. Enfance studieuse, dîners où l’on débat, réflexion nourrie autour de la table familiale… Dès l’enfance, Isabelle se distingue par sa douceur, sa mémoire vive, son goût pour la transmission.
2.2. Carrière dans l’éducation
À 22 ans, elle devient institutrice primaire au sein de l’école San José. Plus qu’une fonction, pour elle, c’est un service rendu à la société. Pendant 35 ans, elle accompagne des générations d’élèves, encourage la lecture, initie au théâtre scolaire. Les anciens élèves la décrivent comme « inspirante », « passionnée », « toujours juste ».
2.3. Vie personnelle
Mai 1975 marque son union avec Miguel Ángel Pérez, à Villena. Deux enfants, Lucía et Daniel, aujourd’hui enseignants eux-mêmes, perpétuent son héritage intellectuel. Lucía se souvient : « Maman faisait cours à la maison, corrigeait des copies, et nous prenait pour ses petits élèves avec tant d’amour. »
2.4. Engagement culturel et social
Retirée des classes en 2010, elle continue à œuvrer pour le théâtre amateur, le cercle littéraire local, la promotion de la langue valencienne. Avec d’autres bénévoles, elle organise des ateliers d’écriture et de poésie ouverte à tous.
2.5. Éloge final
Isabel s’éteint le 27 juin 2025, à l’âge de 75 ans, entourée de sa famille. Un hommage national — relayé par les associations éducatives — saluant la « pédagogue au grand cœur », témoigne de l’ampleur de son apport culturel. Son œuvre se perpétue dans les générations qu’elle a formées.
3. Juan Navalón García – Disparu le 24 juin 2025
3.1. Origines et parcours militaire
Né le 5 novembre 1948, Juan Navalón s’engage dans l’armée à 18 ans. Marqué par la discipline et les valeurs militaires, il sert pendant trente ans dans la légion, notamment au Maroc et aux opérations de maintien de la paix dans les années 1990.
3.2. Compétences et missions
Spécialiste en communication tactique et en logistique – il devient officier responsable de la coordination entre régiments, assurant l’approvisionnement en matériel et en nourriture. Ses camarades louent sa « fiabilité sans faille » : aucun aéroport, aucun convoi n’a fait défaut sous sa responsabilité.
3.3. Vie d’après-armée et retour à Villena
Retraité en 2000, Juan revient à Villena et débute une nouvelle vie de policier municipal. Il y exerce pendant 15 ans, jusqu’à son deuxième départ à la retraite en 2015. Dans l’intervalle, il épouse María Isabel Ruiz, et devient père en 2002 de Noelia.
3.4. Contribution civique
Sa présence active dans la guardia civile locale, les patrouilles de nuit, la prévention des incendies, le bénévolat en secourisme… constitue une part de sa nouvelle mission civique. Il organise des ateliers de secourisme dans les écoles et les clubs sportifs.
3.5. Fin de parcours
Le 24 juin 2025, Juan s’éteint à 76 ans. Le cortège funéraire rassemble collègues civils, camarades militaires, familles ruinées par la peine mais réconfortées par l’estime profonde exprimée dans les rues de Villena. On se souviendra de l’homme fidèle à son engagement, autant militaire que civil.
4. Francisco Marco – Souffle interrompu (date en cours de confirmation)
4.1. Présentation
(Francisco Marco, décédé au mois de juin 2025 ; la date exacte reste en cours de validation.) Les premières mentions parlent d’un homme discret et estimé, né en 1958 dans un village voisin, arrivé à Villena dans les années 1980.
4.2. Trajectoire professionnelle
Issu d’une formation technique, il travaille d’abord dans l’industrie agroalimentaire, puis s’installe comme technicien dans une société de plasturgie. Reconnu pour sa minutie, sa ponctualité, son sens de l’organisation, il acquiert le respect.
4.3. Vie sociale
Marié à Teresa Molina en 1985, il est père de deux enfants, Javier et Paula. À mi-temps pompier volontaire entre 1995 et 2005, il joue aussi un rôle de pionnier dans les comités de quartier.
4.4. Derniers instants
Les premières bribes recueillies évoquent un décès « brutal » – probablement accidentel ou foudroyant. Ses obsèques — attendues début juillet — seront un moment de recueillement collectif, empli d’émotion et de reconnaissance.
4.5. Souvenirs et apport contemporain
Ceux qui l’ont côtoyé le décrivent comme un homme d’une grande discrétion, porteur de valeurs humaines fortes : solidarité, travail, humilité. Son départ soudain laisse un vacío tangible dans la communauté.
5. Une Ville en Deuil, unies par le souvenir
5.1. Solidarité dans l’épreuve
Dans les rangs des voisins, des collègues, des amis, une même tristesse réunit Villena. Des fleurissements spontanés aux abords de chaque domicile endeuillé, des veillées impromptues autour d’un café ou d’un verre, une expression collective de soutien authentique.
5.2. Initiatives commémoratives
Des crémas de solidarité se montent : quêtes pour redorer les infrastructures locales, soutien aux enfants et aux époux/épouses restants. Certains commerçants offrent un œillet blanc ou une rose à chaque passage devant les foyers endeuillés.
5.3. Médiatisation locale et implication municipale
La municipalité a diffusé un communiqué officiel, a suspendu certaines cérémonies protocolaires en signe de respect, et invité les habitants à participer à une minute de silence lors de la permanence municipale.
6. Enseignements partagés via ESQUELAS VILLENA
6.1. Célébrer les vies humaines
Chaque esquela rend hommage à une existence dont les valeurs, la générosité ou le devoir résonnent au-delà du seul individu. En les publiant, la presse locale crée un repère où l’on peut s’identifier et apprendre.
6.2. Transmettre la mémoire
Les familles utilisent les esquelas pour relater un parcours exemplaire : parents, enseignants, pompiers, techniciens, militaires. Ils construisent la transmission des repères urbains, des modèles de professionnalisme, des trajectoires humaines.
6.3. Ancrer la cohésion sociale
Les avis de décès encouragent la solidarité intergénérationnelle : familles voisine, amis d’antan, jeunes qui ne connaissaient pas forcément les défunts. Ils découvrent, s’émouvant, chantonnant la diversité d’ancrage à la ville.
7. Conclusion : Au-delà des dates, la mémoire vivante
Les esquelas Villena du mois de juin 2025 inscrivent dans la pierre de la mémoire : Joaquín Domene Soriano (28 juin), Isabel Calero Gómez (27 juin), Juan Navalón García (24 juin), et Francisco Marco (date à confirmer). Qu’on aille saluer leur parcours, leur impact collectif, ou leurs valeurs individuelles, on tient là un microcosme de ce qu’une communauté peut incarner : excellence professionnelle, engagement civique, transmission, et humanité.
Plus qu’un simple avis de décès, chaque esquela est une invitation à vivre dans la dignité, à construire son œuvre — professionnelle, familiale ou sociale — et à laisser un souvenir respecté. Villena, à travers ces moments de douleur partagée, réaffirme son identité collective : une terre où l’on veille à l’autre, où l’on apprend à se souvenir, où l’on prépare la relève avec discernement, rigueur et bienveillance.